La salamandre s’était réfugiée sous un gros rondin de chêne.
que j’allais fendre pour mieux le faire sécher.
Ensuite j’ai fait très attention en ramassant le bois pour l’empiler.
Et j’ai découvert une grenouille rousse réfugiée sous une bûche de hêtre
et encore un petit lézard vivipare là ou j’allais faire un autre tas de bois.
Pour trouver la deuxième salamandre, j’ai longé plusieurs centaines de mètres de ruisseaux et de mardelles très tôt le matin.
Elles ont toutes des tâches de formes et de dispositions variables et différentes